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Gault et Millau

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Cette adresse historique, récemment reprise par trois amis d’enfance, affiche les initiales de leur prénom – Alexandre Tremblais, Ronan Lavillaugouet et Thibaut Sajot – comme un signe de leurs ambitions : vous emporter dans leur histoire. Celle-ci est une cuisine semi-gastronomique maîtrisée mais décomplexée et servie avec soin mais en décontraction dans un espace intimiste, mélange d’éléments historiques et de design actuel. Et, si leur filet de bœuf Wellington purée Robuchon fait la Une, bien d’autres suggestions sont délicieuses. On se souvient encore de leur truite cuite basse température agrémentée d’un chutney de courgettes qui twistait le fenouil caramélisé et sa sauce aux agrumes et œufs de truite. Ici, l’ennui n’existe pas dans l’assiette et le dimanche, place au brunch complet et gourmand proposé en deux formules, healthy ou tasty. On souligne que toutes les propositions sont faites maison en suivant la saisonnalité des produits régionaux, que les entrées et les desserts sont tout aussi raffinés et gourmands, que les cocktails sont originaux et que la carte de vins est juste.

Gastronomie Trois anciens étudiants du lycée Jacques-Cœur de Bourges cartonnent avec leur restaurant lyonnais

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Trois amis d’enfance vont au bout de leur rêve en ouvrant un restaurant à l’ambiance chaleureuse. Leurs points forts : la cuisine maison, les produits locaux, et le plaisir qu’ils prennent à imaginer de nouveaux plats goûteux et élaborés.

Un restaurant bistronomique et intimiste

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ART Restaurant propose une cuisine bistronomique qui varie au cours des saisons. La carte offre une sélection variée de plats, mettant principalement l'accent sur les viandes et les poissons de qualité. Toutefois, pour satisfaire les préférences des convives végétariens, ART Restaurant propose également une gamme de plats spécialement conçus pour eux. Le menu est conçu pour offrir une expérience gastronomique complète et se divise en trois "actes" distincts, chacun apportant une touche unique à votre repas. Le boeuf Wellington accompagné de sa purée fait l’unanimité auprès des clients.

La salle du restaurant offre une atmosphère intime aux matériaux bruts, avec un nombre restreint de tables, permettant ainsi un service attentionné et personnalisé pour chaque client.

À Art restaurant, même la moutarde et le vinaigre sont maison

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Quand trois copains de lycée créent leur premier restaurant à Ainay, ils l’imaginent à leur image : une grande rigueur dans la qualité (tout, tout, tout est fait maison ici) qui n’empêche pas une décontraction dans le service. Et le soir, ce sont des assiettes à partager, que l’on pose au milieu de la table !

Le collège culinaire de France.

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Restaurant de Qualité
ART RESTAURANT est membre du Collège Culinaire de France depuis 2023.

Art Restaurant. Du café dans les patates douces

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Si le triptyque entrée-plat-dessert reste solidement ancré à l’heure du déjeuner, un vaste mouvement de fond le pulvérise façon puzzle au moment du dîner. Le tout nouvel Art Restaurant obéit à ces nouvelles règles, ou plutôt à l’absence de règles.

Art restau­rant, le resto qui fait bouger Ainay

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la carte du soir, à tendances gastro­no­miques, propose une palette de plats, des Saint-Jacques/ beurre de corail, à la canette /pied de mouton (le cham­pi­gnon, pas la patte de l’ovin) incite au partage dans le désordre, plutôt qu’à l’or­don­nan­ce­ment clas­sique. C’est le moment de citer la présence rare d’un bœuf Welling­ton, une spécia­lité de filet de bœuf en croûte piquée au réper­toire français par les Anglais, en hommage perfide au duc de Welling­ton, vainqueur de Water­loo. Ce sera pour une prochaine visite. Rappe­lons-le, nous étions là à l’heure du déjeu­ner. Ce type ne sert à rien, direz vous. Mais si, il est aussi utile d’ap­pré­cier un établis­se­ment par le petit bout de la lorgnette. Comme par exemple ce joli verre de char­don­nay (ici on parle beau­coup en cépages, à l’Amé­ri­caine) qui précé­dait une patate douce rôtie, courge et gorgon­zola, très travaillée (graine de courges, graines de moutarde maison, cébettes) dans une élégante assiette. On a été un peu moins convaincu par le carpac­cio de bœuf à l’asia­tique qu’on jugeait envahi par un goût de fumée, alors que le chef ne planque pas de barbe­cue honteux dans les cuisines. En revanche, on a parti­cu­liè­re­ment appré­cié l’in­tro­duc­tion de café dans le poulet/patate douces et l’heu­reuse présence de caca­huètes dans le steak de thon/chou rouge. Les asso­ciés, issus de Bourges, mais avec un parcours inter­na­tio­nal (Alexandre, Ronan et Thibaut : A.R.T) font preuve à la fois d’ima­gi­na­tion et d’équi­libre, cuisinent word­wilde et produits locaux, esthé­tisent sans manié­risme moder­ni­sant. Encore une belle adresse à Ainay, un quar­tier qui bou®ge.